Casting imprévu pour working girl assumée

Quelques semaines après le Cap, je retrouve les dossiers laissés sur mon bureau et les deadlines incompressibles, avec sa part d’adrénaline (qui a trop forte dose se transforme en stress).

Mais mon métier est un éternel recommencement, par cycle de 6 mois. Le scénario deadlines / adrénaline / stress se répète inéluctablement. Et se mettre la rate au court bouillon, comme le dit l’expression, est épuisant. Rester connectée à mes envies libertines, que j’ai tendance à mettre de côté en période de stress, est donc un leitmotiv.

Lorsque ce coquin de Toulouse nous envoie un coup de coeur sur Wyylde, je lui en envoie un en retour. Sa fiche est plutôt intéressante, dirais-je, et indique qu’il est régulièrement de passage sur Paris. À creuser.

Mon homme, convaincu des bienfaits de la jouissance, se projette dans un scénario « casting », qui sort de nos coquineries « habituelles » : je vais tester le jeune homme, avec au final vidéo et photos (dont il pourra profiter). Pourquoi pas, lui dis je, l’esprit à moitié occupé par mes obligations & responsabilités.

Le Toulousain, nous l’appellerons ainsi, nous envoie un message plus précis : il sera de passage en fin de semaine, pour 1 nuit. Nous nous ouvrons nos albums respectifs, ça matche.

Mais, le timing étant trop serré, je propose de reporter notre rencontre à plus tard, lors de sa prochaine venue : il arrive tard (je bosse le lendemain) et en journée ça n’est pas possible (je bosse bordel).

Le lendemain matin, je suis dans le métro, en direction du boulot, quand je lis le dernier message du Toulousain. Contre toute attente, il a changé son billet de train pour arriver plus tôt et pouvoir me recevoir en fin de journée. Motivé le garçon, dis donc.

Ok, soyons fous, voyons nous le soir même, même si ce n’était pas prévu.

Je me dis qu’après ma journée de réunions, je ferais un saut dans les magasins, pour acheter au moins de la lingerie. Celle que j’ai enfilé étant davantage fonctionnelle qu’affriolante.

Vers 16h, je reconfirme par texto notre rendez vous au coquin. Il aurait aimé que nous échangions avant par téléphone, mais ne nous connaissant pas encore vraiment, j’ai privilégié jusqu’au dernier moment les échanges sur Wyylde (que mon homme pouvait également suivre en parallèle).

À 18h, lorsque je pose un pied dehors, la lanière avant de ma chaussure gauche est étrangement lâche et menace de se déchirer. En plus de la lingerie, il va falloir trouver une paire de chaussures, pour ne pas finir pied nus.

Centre commercial encore ouvert yes. Lingerie ok (après avoir demandé l’avis de mon homme sur deux modèles). Chaussures à talons mais ok. Message du coquin qui me demande où j’en suis et me propose de venir à ma rencontre.

Il est là, détendu, galant. Aussi charmant que sur les photos, encore plus charmant avec son accent Toulousain. Je lui agrippe le bras pour le faire ralentir et ne pas trop solliciter mes chevilles avec mes nouvelles chaussures (fichue entorse qui a fragilisé ma cheville droite).

Arrivés à son hôtel, je demande à prendre une douche, indispensable après cette journée dense et les péripéties de la fin de journée.

La cabine de douche et le lavabo ne sont pas séparés de la chambre. Il me regarde me déshabiller, en détournant un peu les yeux, pour le principe.

Je renonce à enfiler ma nouvelle lingerie rose fushia. Il aurait fallu couper les étiquettes, régler les bretelles… Il venait de me voir nue, était ce vraiment nécessaire de me rhabiller ?! Flemme.

Le Toulousain s’est déshabillé également, ne gardant que son slip, et s’est allongé sur le lit. Son corps est fidèle aux photos, taillé et musclé.

Je m’installe sur le bord du lit, simplement enroulée dans ma serviette de bain. Mon regard se pose rapidement sur la bosse dans son slip. Il est déjà (très) excité et maintenant que je l’ai vu, je n’arrive pas à faire abstraction.

Sans demander la permission, je soulève donc son slip et pars à la rencontre de son sexe tendu. Ma bouche gourmande s’en empare aussitôt. Je le suce en relevant parfois les yeux pour le regarder et lui sourire. Il apprécie.

Il me lèche un peu à son tour mais je lui signifie que j’ai envie de le sentir s’engouffrer en moi. Il s’exécute sans se faire prier. À partir de ce moment là, quelle que soit la position, son regard ne quittera plus le mien.

Coups de rein lents et profonds, allers retours dynamiques et énergiques, en relevant mes jambes et/ou en s’allongeant sur moi, le Toulousain ne ménage pas ses efforts (et a la forme).

Je réclame son sperme rapidement (pour avoir le temps de faire 2 ou 3 tours dans la foulée). Je m’agenouille devant lui pour le sucer, queue et boules comprises, pendant qu’il tient mon téléphone pour filmer. Je jubile à l’idée que mon homme va partager ce moment à travers la vidéo.

J’accélère le mouvement, toujours avec le sourire. Son cri de plaisir est à la hauteur de sa jouissance et son sperme chaud vient recouvrir mon visage. Je prends des photos du résultat.

Pause. J’envoie les vidéos et photos à mon homme. Il est surpris d’en recevoir aussi vite après notre arrivée. Il se doute qu’il y aura au moins un deuxième tour. Et il a raison.

À deux reprises, entrecoupées d’une pause douche + envoi de photos, le Toulousain m’a remis sa queue dans la bouche pour ensuite me prendre vigoureusement et finir en giclant à nouveau sur mon visage. Et un, et deux et trois ejacs !!!

J’ai tenté de le convaincre de se lancer dans un 4ieme round mais, à ma grande déception, il était cramé, après 2h de sexe intense… LOL

Ce fut donc mon homme, qui à mon retour à la maison, s’activa pour rassasier l’excitation qui était encore vivace. Il voulut lui aussi baptiser mon visage de son jus et je me suis employée à l’extraire efficacement.

Et après tout ça, enfin détendue, je me suis endormie comme un bébé.

4 commentaires sur « Casting imprévu pour working girl assumée »

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